mercredi 20 février 2008

Moi et Czerny

Aperçu.


Ouais je sais c'est de la triche c'est pas un vrai post.
Mais là je dis pouce.

En plus, en ce moment chez Falimarion, on s'occupe à mort du projet de bouquin sur les meilleurs pâtissiers. Fini le goûtage des galettes, on est passées aux flans et aux tartelettes aux fruits...

Bah ouais. Quand je vous dis que je suis méga occupée, c'est pas de la blague, hein.

vendredi 15 février 2008

Non ne m'internez pas

Je m'aperçois à la seconde, qu'on a profité de mon absence bloggesque pour me deubeul deubeul tagger !
Arrêtée en plein vol (saut à pieds joints de l'entrée de ma chambre, atterrissage programmé dans mon lit, bing direct), ma conscience se refuse néanmoins à se défiler et à esquiver ses responsabilités.

ORDONC. Je réponds.
6 trucs dont on a rinafoute, si j'ai bien compris. Allons-y.

1) Bon je vous préviens que celui-là, il est très ponctuel, mais comme il m'est encore arrivé pas plus tard qu'il y a 5 minutes, il a sa place ici, y'a pas de raison.
Il faut savoir que chez Falimarion, où je passe mes journéééééesoirééééesnuiiiits, hum ma VIE en ce moment, rapport à qu'il faut envoyer la moitié des chapitres à la maquette, et que le dernier délai c'est pour dans il y a 3 jours, chez Falalalamirion, disais-je, dans les toilettes et les salles de réunion, les lumières s'allument toutes seules quand on entre parce que capteur de mouvement, repérage infrarouge toussa, par satellite ultra moderne top la classe.
Résultat, depuis 2 mois, quand je rentre chez moi, je reste 1 minute dans le noir avant de me souvenir que non, chez moi, il faut APPUYER sur le bouton pour que fiat lux. (C'est pas le bon teeeemps en latin, oué je sais, mais bon pfiou, j'ai oublié comment on conjugait).

2) Je me lave les dents HY-PER longtemps. Et ce n'est même pas voulu, c'est juste que à ce moment-là, je pars dans mes pensées et j'oublie totalement ce que je suis en train de faire, et je continue mécaniquement jusqu'à ce qu'au bout de 10 minutes, je me rende compte que un peu plus et je n'aurai plus de gencives.

3) J'ai un trouble comportemental obsessionnel très développé à tendance monomanique au niveau de l'attachement de cheveux. A peine attachés, j'ai envie de les lâcher. Mais lâchés, au bout de 5 minutes, ça m'énerve de les avoir dans les yeux. Du coup je les rattache, mais ça fait froid au cou. Alors je les relâche, mais ça me chatouille le cou. Alors je les rattache. Mais c'est trop serré, ça me tire. Je les relâche. Mais ils ont une forme bizarre, c'est pas joli. Je les rattache. Etc. Moyenne : 340 fois par jour.
Résultat : je dépense une fortune en élastiques qui, les pauvres, ont du mal à tenir le rythme.

4) Quand j'ai prévu quelque chose d'important dans la journée, il faut ABSOLUMENT que je mette ma culotte préférée. Mais absolument. Sinon, bad karma inside, mauvais oeil, negativ vaïbes et tout. Mauvais.

5) Je dois faire sonner mon réveil au moins 5 ou 6 fois le matin à 5 minutes d'intervalle avant de pouvoir décemment aborder le début de la pensée de l'envisagement de l'ouverture d'un oeil (le droit).
Et le 5 ou 6 est une moyenne raisonnable. Je peux facilement le remettre 10 ou 12 fois quand j'ai prévu que j'allais être très fatiguée, et que je ravance l'heure du 1er réveil. (Oui je sais, la logique de faire sonner plus tôt parce qu'on est plus fatigué est difficilement perceptible pour certains. Mais j'vous JURE, je ne PEUX pas sinon. C'est pas de la mauvaise volonté, c'est de l'incapacité biologique).
Ce 5e point de trucs "rianfoute" de ma vie n'est en fait pas si rinafoute que ça, car figurez-vous que certaines de mes amies refusent désormais de dormir avec moi si je dois me réveiller le lendemain... (Ah oui j'ai oublié de préciser que la sonnerie que je mets est à classer dans la famille "horrible" de la catégorie "horrible", mais je suis désolée, les petites musiques gentillettes toutes douces, moi, même pas mon cerveau il comprend que c'est un réveil).

6) Je prends toujours la même chose au McDo : un Mac Deluxe.
(ouah... je sens que je vais me faire tailler là...)

7) Le pire chez moi c'est que... ah non, il fallait en dire que 6. (hinhin...)

Eh dites, j'aurais encore plein de trucs rinafoute bizarres à vous dire, moi, ça fait peur quand même... Merci le tag réconfortant hein.

Pour la peine, je l'envoie à LaFée et Silphi qui doivent s'y coller ! (Et moi je dis pas genre "si vous voulez" ou "si vous avez le temps", hein, non non c'est o-bli-ga-toire !)

(Je vais me faire aimer, je sens) :D

dimanche 10 février 2008

mousse à raser et autres bêtises...

Il y a des soirées où tout se passe bien. Et puis, je sais pas... il y a des soirées où c'est pas pareil...

Par exemple, là, pourquoi c'est pile 5 minutes avant le dernier métro que j'ai pensé à regarder ma montre ?

Et pourquoi, quand je me suis dépêchée d'aller chercher toutes mes affaires, dit au revoir à la va-vite, mis mon manteau d'une seule manche, l'autre je la mettrai dans la rue, POURQUOI est-ce qu'une bataille de mousse à raser éclate dans l'entrée, c'est-à-dire exactement là où je me trouvais ?

Résultat, mon métro étant dans moins de 1 minute 45, j'ai à peine le temps de m'essuyer le visage, les cheveux, mes fringues, ma manche de manteau (celle qui était mise) avant de courir.

Ouf, je l'ai, je m'assois.
C'est alors que je réalise que je sens l'homme. D'une force assez inimaginable. Je pense qu'à l'autre bout du wagon ils m'ont repérée. Je n'avais jamais remarqué que la mousse à raser sentait aussi fort.

Pour me donner une contenance (et bien montrer que je suis une fille), je sors Femmes de Philippe Sollers que j'avais embarqué avant de sortir de chez moi.
Des bouts de phrases dansent devant mes yeux... entrecoupées de beaucoup de points de suspension... Mes yeux ne font pas tout à fait le focus, la moitié des mots s'évapore avant d'arriver à mon cerveau, ce qui donne des choses assez étranges, surtout quand il raconte ses ébats sessuels. Je m'amuse follement, lire Sollers en état de non-sobriété est une expérience à vivre.
J'ai cependant la nette impression (enfin... "nette"... on se comprend) que le monsieur qui a écrit ça se fiche de moi. Sauf que moi aussi je me fiche de lui, alors huhuhu...

Arrivée chez moi, je balance mes habits loin de mon nez et je mets moi dans la douche, parce que dans mes cheveux, souvenez-vous... il y avait de la mousse à raser bravo, et que 1) ça colle de partout, 2) avec cette odeur d'homme toute la nuit, ça m'aurait fait faire des rêves farfelus zé pas que farfelus huhu.
Et alors que j'allais tomber, bing, dans le sommeil, telle une pierre au fond d'un puits, un flash me revient...
J'ai appelé au cours de ladite soirée le copain d'une amie du prénom de l'amant de cette même amie (je sais elle est compliquée ma phrase... c'est bon tout le monde y est ?)
Et même pas je m'en suis rendue compte tout de suite... C'est juste au bout de 10 secondes d'un silence glacial, de yeux grands ouverts fixes de amie-de-moi et de yeux plissés-fâchés de copain-de-amie-de-moi, que j'ai réalisé.
Et là avec mon tact et ma présence d'esprit naturelle, au lieu de faire semblant que je me suis juste trompée et que c'est pas grave, bah non, j'ai fait "OH !" en mettant ma main devant ma bouche et en rougissant...

Oué...

Niveau mettage de pagaille en 10 secondes de temps, je pense que j'ai été grave efficace là.
Et bon, bah forcément c'est à ce moment-là que j'ai pensé à regarder ma montre et que j'ai trouvé qu'il était grand temps de partir. [Et là on fait Da Capo al fine, retour au début du morceau et on s'arrête à la fin qui est en fait au milieu... oué c'est compliqué la musique, je sais.]

A part ça, c'était chouette cette soirée... (si si...)

Et demain, kékispass ?

Demain = Vernissage au Musée d'Orsay avec Mâdâme notre Ministre de la Culture et plein de gens importants zé connus, toussa, que c'est ChefdeCollection qui a eu des invites mais qu'elle peut pas y aller alors elle nous les a données à Stagiaire-copine et moi.

Recommandation : "Vous vous habillez bien, hein, sinon vous ne dites pas que vous venez de ma part !"

(T'inquiète, ChefdeColl', nous te ferons honneur... hinhinhin...)

Saleté de Louis

Attention, vidéo à haut degré d'adorabilité.


Moi je suis pas mariée, tu sais !


jeudi 7 février 2008

J'aime pas les stagiaires

Après ce long interlude survenu sous la forme d'un passionnant feuilleton, revenons-en à des choses plus terre à terre.
(ouahh le jeu de mot !! Vous avez compris ? eh dis, vous avez compris ? Air... terre... Comment je travaille trop mes transitions moi !)

Je voulais vous faire part d'une découverte.
Car chez Famalimard, j'ai découvert un truc trop bien !
C'est qu'il y a un service informatique !
Bon, jusque là, rien d'incroyable me direz-vous.
(Mais attendeeeez que j'aie fini de raconter ! vous répondrai-je).

Or le service informatique a une utilité !
Déjà là, elle a un petit côté scoop, mon information, hein pas vrai ? (hinhin...)
Je vous explique pourquoi.

Exemple pour mieux comprendre l'essplication :

ChefdeMoi veut une sortie papier d'une maquette de bouquin, en A3, couleurs, c'est-à-dire la grosse imprimante qui crache du 300 feuilles à la minute, et qui est à l'aaaauuutre bout du couloir tout au bout là-bas.
"Là tout de suite maintenant immédiatement comment ça ce n'est pas encore dans ma main ?" précise ChefdeMoi.

Hop hop, vite, courir à mon bureau, s'apercevoir qu'il y a 38 chapitres (ET DONC 38 fichiers pdf à ouvrir séparément et à lancer à l'impression séparément, j'adore). Aller chercher les 1ers chapitres avant de lancer tout pour faire au plus vite. Et 1, 2, 1, 2, pfiou, pfiouuuu arriver essoufflée à l'imprimante, prendre les feuilles, revenir 1, 2, 1, 2, donner à Chef, lancer la suite, repartir en courant, 1, 2, 1, 2, arriver, s'apercevoir que ah flûte quelqu'un a eu la bonne idée de lancer un truc entre-temps, mais il sait pas que mon truc c'est plus important ou quoi, pfiou, se reposer un petit peu du coup, ah voilà ma sortie, 1, 2, 1, 2, hop donner à Chef ("Et la fin alors ? c'est pour 2009 ?"), ne même pas s'énerver, lancer la fin, repartir en courant, 1, 2, etc, (eh, vous comptez tous seuls maintenant, hein), oh, l'imprimante a même fini avant que j'arrive, revenir hop hop, argh s'apercevoir qu'en fait elle n'avait plus de papier, il manque la fin, repartir (pfiou, pfiou, on souffle par la bouche), donner du papier à manger à la bête, prendre la fin, revenir au bureau, donner à Chef.
Et... s'effondrer de fatigue sur son siège.
Tout ça pour 1 seul truc. Imaginez-moi au bout de la journée, je vais bientôt être prête pour la Marathon de NY.
Or, bizarrement, c'est pas mon objectif.

Et, alors que je m'autorise 2 secondes d'avachissement sur mon fauteuil qui tourne, mes yeux tombent sur une imprimante A DEUX PAS de mon bureau. Limite je peux la toucher sans me lever.
C'est à ce moment précis de l'histoire que le service informatique entre en jeu.
Ni une ni deux, "tit tut tit tit" fais-je sur mon téléphone.
- oui ? me dit une jeune voix masculine
- Je veux cette imprimante sur mon ordinateur, dis-je fermement. 
- Alors acceptez-moi, me répond la jeune voix masculine.
- ...? réponds-je (avouez que c'est troublant tout de même...)

Mais avant d'avoir le temps de lui répondre une bêtise, je vois un gros truc orange clignoter sur mon ordi qui dit "ACCEPTE ACCEPTE". Moi, fraîche, naïve et innocente, je fais ce qu'on me dit.
ET LA... La jeune voix masculine prend le contrôle intégral de mon ordinateur ! Et j'entends dans le téléphone le clic de SA souris qui est en fait sur MON écran ! Trop ouf non ?
(Ceux qui ne trouvent pas ça ouf du tout, vous êtes gentils vous le disez pas, vous allez tout me casser mon trip sinon).

Bon et donc avec sa souris sur mon écran il fait tout un tas de trucs que j'ai rien compris, et puis "voilà !" "ben merci !" hop raccroche et hop, j'ai une imprimante à DEUX PAS de moi hinhin trop maline je suis. Le marathon de NY ça ne sera pas pour cette année, désolée.

Sauf que CA, c'était AVANT, parce que tellement je suis nulle en informatique et tellement ça va plus vite de les appeler plutôt que de réfléchir à comment résoudre le problème, que maintenant je les appelle 10 fois par jour.

OR au service informatique c'est rempli de stagiaires (masculins, est-il besoin de le préciser ?) qui repèrent les stagiaires en édito qui appellent 10 fois par jour, et qui leur font des BLAGUES DEBILES dignes d'un stagiaire en informatique, tiens.
Par exemple et au hasard, faire flashouiller un truc orange qui dit ACCEPTE sans que je lui ai demandé, et que, le réflexe aidant, je clique avant de dire ouf, et que paf je le vois faire sans pouvoir intervenir, un mic-mac d'enfer sur mon bureau d'ordi.

Trop chouette blague, merci Stagiaire.
Surtout que je ne sais pas lequel c'est.

Mais il ne sera pas dit que je ne me vengerai point... [ici, insérer au montage un rire sardonique]

lundi 4 février 2008

Tidim gling gling !

Ayé !! On est "demain", c'est la fin du feuilleton ! (huhu...)

Comme ça fait loooongtemps et que je vous connais, vous n'allez plus savoir où on en était, je vous fais un petit résumé des épisodes précédents.

"Previously, on Julie The Little Olive" [à dire avec la voix du mec-spécial-bandes-annonces] :

- du réveil matinal qui fait mal
- du stress
- du suspens
- de la tension
- de la course en tailleur-talons
- du coloriage
- des Kit Kat
- de l'ambiance StarAc
- des photos (euh ah non les photos, aucun rapport en fait)
- des expériences comportementales douteuses
- de l'humour de recruteur ErfRance
- du poireautage
- de la musique d'aéroport

Et la musique d'aéroport, c'est très important ! Parce que c'était le signal pour le ruerage... pour le ruement...? bon c'était le signal pour que les gens se RUENT sur l'écran qui disait "bouh vous on vous aime pas rentrez chez vous".

Et c'est LA que je tiens à décerner la palme de la perspicacité à la FéeSaPerspicace parce que je vous avais fait une petite blaaaague ! (huhu que je suis facétieuse...)
Et que en fait je n'y étais pas sur la liste des Jartés !

(Je tiens cependant à nuancer la perspicacitude sus-citée en précisant que je ne me serais certes pas cassé le popotin arrière à faire une saison entière sur un truc que j'aurais en fait lamentablement raté...)
Mais ne retirons pas à César ce qui appartient à LaFée, de toute façon, la palme je lui ai donné, et reprendre c'est voler, et les palmes c'est pas fait pour voler, alors LaFée t'ira à la piscine avec ta palme et picétou.

Ordonc, reprenons.
Pas de Julie la p'tite olive sur l'écran. Il est midi. (Paris s'éveeeille...)

Après les "Ce-n'eeest-qu'un-au-revooooir-mes-frères" larmoyants des Jartés envers les non-encore-Jartés et vice-versa, j'apprends par voix interposée de tidim gling gliiiiiiing que mon entretien individuel aura lieu à 16h.

Il est toujours midi.
Or Paris s'éveille peut-être, mais Villepinte, carrément pas. Je tente une sortie. Ah ! j'aperçois quelqu'un au loin. Ah, ça y'est, il a disparu.
Oh, une voiture passe. Elle tourne, le silence revient.
Bon.
Opérons un repli stratégique vers la salle d'attente. Salle d'attente largement pourvue de fausses plantes en plastique, ai-je omis de préciser.
Je constate que les autres non-encore-Jartés ont eu le même premier mouvement - sortir - puis la même constatation - "ouh, ya rien dehors" - puis la même décision finale - rentrer et attendre.

Si je résume nous avons donc tout un tas de gens qui n'ont rien à faire et qui sont enfermés ensemble dans une pièce. Avec des plantes en plastique.
Ca fait *tilt* ?


Huhu, et voui ! Nous somme en effet passés en quelques heures de la StarAc à LoftStory ! (ça dégringole vite).
Même que, l'effet "tous-dans-le-même-bateau" aidant, on s'est retrouvés à faire une mission "cherchage de micros" dans les plantes en plastique, et on a même été cacher le porte-manteau parce qu'il avait des boules qui pouvaient facilement cacher des caméras grand-angle, et que ça nous paraissait drôlement suspect.

Ah oué, 4h d'attente dans le stress, ça vous transforme une poignée de non-Jartés sympathiques en gang organisé hautement paranoïaque !

Bon je vous épargne les passe-temps intermédiaires et autres concours de lançage de chaussure à talon (oui... ben... oui, quoi... de toute façon maintenant qu'on avait viré les caméras, ils pouvaient plus nous voir !)

Et à 16h, arrive un gentil monsieur qui appelle mon nom (j'ai failli lui répondre "tidim gling gliiing ?") et qui, pendant 40 minutes prendra mon CV point par point et me posera tout un tas de questions très intéressantes, mais n'ayant absolument AU-CUN rapport avec ErfRance, même de loin.
Je lui ai fait une dissertation orale improvisée sur la littérature et son importance pour la société, sur le rôle de l'éditeur et sur la manière de concevoir un livre y compris dans sa forme, et il a eu l'air très content.

Suite à quoi : réponse dans 2 jours hinhinhin...

Mais non, les 2 jours c'était à moi de les attendre, et de toute façon comme j'ai déjà flingué mon suspens, je peux bien vous le dire : J'AI ÉTÉ PRIIIIIIIIIISE WOUHOU !

Et j'aurai bien sûr plusieurs jours de formation. (Je le dis, parce que je sens que sinon, tout le monde va éviter ErfRance cet été...)

Donc voualaaa.
Il était bien mon feuilleton hein ?
Mais là j'arrête parce que pfiou, c'était fatigant...